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Chronique n°6: Saint-Etienne et la Coupe d'Europe

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Chronique n°6: Saint-Etienne et la Coupe d'Europe Empty Chronique n°6: Saint-Etienne et la Coupe d'Europe

Message  ac42 Ven 16 Mar - 14:38

L’AS Saint-Etienne. Quand on évoque ce club à un vrai et grand passionné de football, il y a forcément l’évocation des grandes européennes. Alors pour une fois, je vais laisser tomber mon objectivité relative qui existe dans mes chroniques, pour parler comme un supporter, et ouvrir le grand livre d’histoire du club qui me fait rêver.

1958 à 1966 : les prémices.
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En 1957 pour la première fois de son histoire, l’AS Saint-Etienne décroche le titre de champion. Ils découvrent donc la Coupe d’Europe l’automne suivant. Ironie de l’histoire, la première européenne de l’ASSE se passe…. à Glasgow !!! Face à des Rangers plus expérimentés aux niveaux européens le champion de France perd 3-1 à l’aller. Le match retour a lieu dans le Chaudron. La ville est déserte, telle un jour de grevé générale toutes les usines sont fermées. 30 000 personnes sont prêtes pour l’exploit. Il n’arrivera pas, malgré la victoire 2-1, mais ce jour-là, un tel engouement naquit, que les supporters sont prêt à vibrer à de nouvelles aventures européennes

Pour revoir l’ASSE sur le plan européen, il faudra attendre 1962, cette saison la, bien qu’étant en 2e division, les verts disputent la Coupe des Coupes. L’histoire retiendra que c’est contre Setubal que Saint-Etienne passera pour la 1ere fois un tour de Coupe d’Europe. L’aventure s’arrêtera contre Nuremberg au tour suivant. Saint-Etienne remontra en D1 des 1963, et gagne le championnat dès leur première saison. Retour donc à la case Coupe des Champions, et comme en 1958 l’aventure s’arrêtera d’entrée, élimination contre le club suisse de La-Chaux-de-Fonds.

1967 à 1973 : Premiers exploits
Chronique n°6: Saint-Etienne et la Coupe d'Europe AS+saint-etienne+1968-1969

En 1967 les verts retrouvent la Coupe des Champions. Jean Snella qui a remis Saint-Etienne au sommet du football hexagonal cède son poste au meilleur entraineur français de l’époque, Albert Batteux, qui emmena Reims en finale de la C1 à 2 reprises, ainsi que l’Equipe de France à la 3e place du Mondial 58. Avec Batteux à sa tête, l’ASSE a envie de conquérir l’Europe. Le parcours tournera court lors de la saison 67-68, après avoir éliminé le champion de Finlande, les verts seront éliminés par Benfica, futur finaliste de la compétition contre Manchester Utd. Il sera encore plus court l’année suivante, ou face au vainqueur de l’édition 1967 le Celtic Glasgow, et malgré une belle victoire 2-0 à l’aller, les écossais se qualifieront après une victoire 4-0 à l’aller.
En 1969 le tirage au sort n’est toujours pas tendre avec l’ASSE, puisque c’est le Bayern Munich de Franz Beckenbauer, qui se présente dans le Forez. Les allemands font honneur à leur statut de favori en remportant le match aller 2-0, le score est néanmoins flatteur pour des stéphanois qui n’ont pas émergé. Entre les 2 matchs le président Roger Rocher et l’emblématique défenseur yougoslave Durkovic ne vont pas se gêner pour remettre en place l’effectif, Rocher allant même jusqu’à les qualifier de « footballeurs de salon ».

Au retour devant un public survolté, les verts vont réaliser leur 1er « come-back » européen. D’entrée de jeu Revelli ouvrira le score, avant de doubler le score à la 51e minute. 2-2 sur l’ensemble des 2 matchs, avant que Salif Keita, l’homme qui a fait Orly-Saint-Etienne en taxi juste pour signer son contrat (véridique) achèvera les allemands avec un 3e but à 10 minutes de la fin, les verts tiennent leur exploit. Exploit malheureusement sans lendemain, les champions seront éliminés en 1/8e par Varsovie. L’année suivante le parcours s’arrêtera d’entré contre Cagliari. En 1972 l’ASSE découvrira la Coupe UEFA, découverte rapide, élimination d’entrée par Cologne.

1974 à 1977 : les 3 glorieuses
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1974 marque le retour de l’ASSE en Coupe des Champions. Apres un 1er tour bien négocié contre le Sporting Lisbonne les verts vont se frotter au champion de Yougoslavie, l’Hadjuk Split. Le match aller est une catastrophe, les verts sont trop tendres, et se font bouffer 4-1. Bref il faudrait un miracle auquel personne ne croit, surtout pas la télévision qui ne retransmet même pas le match !!! Les yougoslaves sont très confiants, au programme : tourisme !!! Bref Split va sous-estimer les stéphanois, grosse erreur.
Pourtant, lorsque Jovanic égalise a l’heure de jeu après l’ouverture du score de Larqué, les probabilités d’un exploit stéphanois sont quasi-nulles, 3 buts en 30 minutes, il ne faudrait pas trainer pour y croire, et c’est ce que vont faire les verts. Sur le coup d’envoi après l’égalisation, Bathenay redonne l’avantage, 2-1. 71e minute, faute sur Synaeghel, penalty de Bereta, 3-1. 82e minute, le joker « Tintin » Triantafilos canarde le gardien de Split, 4-1, égalité parfaite. Prolongations. Split est dépité, Saint-Etienne va en profiter, « Tintin » s’offre le doublé, 5-1, les verts sont qualifiés.

Apres ce « come-back » renversant les verts se voit proposer un adversaire beaucoup moins dangereux, le champion de Pologne, Chorzów. Mais se déplacer dans un coin paumé du fin fond de la Pologne en cet fin d’hiver 75 et tout sauf une partie de plaisir, et sur un terrain pourri, les verts vont mettre 30 minutes et 3 buts avant d’entrer dans le match. Défaite 3-2 au final, le match retour dans le chaudron ne sera qu’une « formalité » 2-0, les verts sont en ½ finale. Et ils retrouvent le tenant du titre, le Bayern.

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Des munichois qui se rappellent de l’humiliation subit 6 ans auparavant, et qui vont donc décider de « défendre » à l’aller. La technique est simple, on joue le 0-0 à 11 derrière. Ça marche, malgré une importante domination verte le score sera de 0-0. Au retour Munich marquera très rapidement par Muller, et malgré de nombreuses occasions stéphanoises finiront par gagner 2-0. Saint-Etienne s’arrête en ½ finale mais avec la certitude que désormais, ils peuvent faire quelque chose de grand sur le plan européen.
Retour en Coupe des Champions la saison suivante. Apres 2 premiers tours sans soucis contre Copenhague et les Rangers, l’ASSE défie le Dinamo Kiev. Le match aller a lieu sur un terrain pourri a Simferopol, en plein hiver ukrainien. Et face à Kiev, emmené par son ballon d’Or Blokhine, les champions d’URSS gagneront logiquement 2-0. Pour aller plus loin, il faudra un nouveau miracle. Mais le peuple vert y croit, mais Kiev n’est pas Split, c’est le calibre au-dessus, et les verts souffrent.

Chronique n°6: Saint-Etienne et la Coupe d'Europe Saint-Etienne-Dynamo-de-Kiev-3-0-Un-renversement-incroyable

Jusqu’à cette fameuse 64e minute, qui rentrera dans l’histoire. Blokhine, en position de contre, a récupéré le ballon sur l'aile droite. Il grille Janvion. Il file balle au pied, élimine Lopez, le dernier défenseur, d’une petite feinte. Le but s’ouvre devant lui, avec le seul Curkovic, qui a toutefois réduit l'angle, pour le défendre. Tout le monde voit déjà le ballon au fond des filets. Mais non. Au lieu de tirer au but, il tente le dribble de trop, se fait reprendre par Lopez revenu en catastrophe, le stéphanois emmène le contre, sert Patrick Revelli, qui envoie son frère Hervé ouvrir le score pour les verts. Geoffroy-Guichard explose, les verts ont enfin trouvé l’ouverture, il reste 25 minutes pour marquer 2 buts. Il n’y en a qu’un 7 minutes plus tard, un coup franc sublime du capitaine Larqué, qui emmène tout le monde en prolongation.

On joue alors la 112e minute, Santini, sur l’aile droite, réalise un petit chef d'œuvre technique, évite Konkov, attire deux défenseurs et glisse le ballon entre eux à Patrick Revelli. Le parcours de l'indomptable Patrick est extraordinaire de détermination. Il élimine d'un dribble long Trochkine, à quelques centimètres de la ligne de but. La balle paraît même sortir. Il redresse le ballon dans un effort désespéré et centre en retrait. Son frère Hervé, s'est précipité, attirant à lui 2 défenseurs. Rocheteau est là, seul au point de pénalty, et reprend instantanément de l'intérieur du pied droit. Le ballon file. Les filets tremblent. 3-0, les verts l’ont fait, ils sont en demi-finale pour la 2e année de suite. Cette fois c’est Eindhoven qui se présente. A l’aller les verts dominent mais ne marque qu’un but. 1-0, il faudra être fort au retour aux Pays-Bas. Et Curkovic le sera, les néerlandais se créeront énormément d’occasions, mais Curko tiendra la baraque, 0-0, 17 ans après le Stade de Reims, Saint-Etienne est en finale.

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12 Mai 1976. Tout supporter stéphanois qui se respecte à cette date en mémoire. Glasgow, théâtre de la finale qui oppose Saint-Etienne au double tenant du titre… le Bayern Munich. Mais qu’importe la force de l’adversaire, les verts ne font pas de complexe, il est temps de faire enfin gagner la France, les verts dominent la finale, touche 2 fois les poteaux par Bathenay et Santini, ce qui donnera naissance à la fameuse légende des « poteaux carrées », légende absurde car non, les poteaux n’était pas carré a l’Hamden Park de Glasgow. Et puis arrive la 57e minute, minute décidément tragique d’affrontement franco-allemand (Battiston est bien placé pour en parler), sur un coup franc généreux accordé par l’arbitre, Franz Roth marque, 1-0, la rentrée de Rocheteau n’y changera rien, Saint-Etienne a perdu. Le lendemain pour célébrer ce beau parcours les verts défileront sur les Champs-Élysées, mais l’impression d’avoir laissé passer une chance très grande de gagner la coupe d’Europe traverse l’esprit. Et on peut aujourd’hui se poser la question, ou serait l’ASSE aujourd’hui sui les poteaux avaient été rentrant et que les verts seraient revenu de Glasgow avec la coupe ???

1977 à 1983 : le début de la fin
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Apres ce parcours héroïque de 1976 Saint-Etienne retourne en Coupe des Champions l’année suivante. Apres Sofia puis à nouveau Eindhoven avec le même scénario que lors de la précédente ½ finale, les verts retrouvent Liverpool en ¼ de finale. Face aux anglais emmené par Kevin Keegan, les verts retrouvent l’arbitre de Glasgow, Mr Polotaï. Et comme lors de la finale le seul but du match arrivera sur coup franc, stéphanois celui-ci, inscrit par Bathenay. 1-0 avant d’aller à Anfield, c’est peu. Le match est arbitré par un néerlandais qui fera parler de lui quelques années plus tard, un certain Mr Corver…objectif du match retour, conserver l’avantage de l’aller le plus longtemps possible. Les verts reussiront à tenir… quelques secondes, Keegan ouvre le score dès la 2e minute sur une erreur, tellement rare, de Curkovic. Mais les verts ne se laissent pas abattre, et égaliseront en début de 2e mi-temps par Bathenay, déjà buteur à l’aller. 1-1, la qualif est bien parti, mais hélas les verts vont se relâcher, et par Kennedy et Flairclough vont qualifier Liverpool au depend des verts qui, paradoxe de l’histoire, livraient ce soir-là, l’une de leurs plus belles partitions européennes.

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Dépossédé du titre de champion par Nantes, les verts se retrouvent en Coupe des Coupes, l’affaire sera plié d’entrée, face à Manchester United, les verts sortent d’entrée de la compétition. L’année suivante Saint-Etienne sortira Lodz au 1er tour grâce notamment au triplé de Johnny Rep au retour (écoutez bien la chanson consacré à Rep par Mickey 3D, le match commenté par Vendroux à la fin de la chanson est ce fameux ASSE-Lodz). Au tour suivant c’est encore plus fort, face à un adversaire habituel le PSV Eindhoven, les verts vont écraser le match retour 6-0 et se qualifier pour les 1/8e, ou ils écarteront facilement l’Aris Salonique. Mais face à Mönchengladbach les verts vont sombrer, se faisant humilier à domicile comme rarement en Coupe d’Europe 4-1 pour les allemands dans le chaudron. Rebelote l’année suivante, un 1er tour facile contre Kuopio (14-0 sur l’ensemble de la confrontation) puis un 1/16e bien maitrisé contre St-Mirren, les verts réalisent à nouveau une prestation de rêve, emmené par un Platini et un Rep en force stratosphérique, Saint-Etienne écrasera Hambourg en Allemagne 5-0, avant de gérer le match retour grâce a un tout jeune joueur, un certain Laurent Paganelli. Mais l’aventure s’arrêtera en ¼, ou l’ASSE tombera sur le futur vainqueur Ipswich, là encore en perdant 4-1 a la maison le match aller. Champion de France en 1981 les verts retrouvent la Coupe des Champions, mais l’aventure s’arrêtera dès le 1er tour contre Berlin. Ce qu’on ignore en ce 1er Septembre 1981, c’est que ce match retour sera la dernière rencontre de l’ASSE en C1. Un an plus tard les verts retournent en C3, et après un 4-0 encaissé contre les Bohemians de Prague, les verts quittent la Coupe d’Europe, et pour très longtemps

2006 et 2008 : A la recherche du glorieux passé
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24 ans ont passé, les verts ne dominent plus le football français, font plusieurs passages en 2e division, mais après leur remonté en 2004, les verts terminent 6e du championnat, et dispute donc la Coupe Intertoto. Apres une qualification sur le terrain de Neuchâtel, les verts seront éliminés par Cluj, victime de la règle du but à l’extérieur.

2 ans plus tard, les verts retrouvent l’Europe la vrai. Enfin la Coupe UEFA. Non tète de série les verts héritent de l’Hapoel Tel-Aviv, 2-1 à l’aller 2-1 au retour, Saint-Etienne va donc en phase de groupes. Pourtant Saint-Etienne est que mal en point en Ligue 1, à tel point que Laurent Roussey qui avait raméne la Coupe d’Europe dans le Forez, se fait ejecter au profit d’Alain Perrin, qui amenera dans ses bagages son adjoint, un certain Christophe Galtier. Mais en coupe d’Europe en revanche, les verts, portés par un élan donc on ignore la provenance, termine 1er du groupe, devant des adversaires habitués aux joutes européennes et même à la Ligue des Champions comme Rosenborg Copenhague Bruges et surtout le FC Valence, tenu en échec 2-2 « pour la gloire » dans un chaudron frigorifié et enneigé. En 1/16e de finale les verts tombe sur l’Olympiakos, qui dominent le championnat grec. Dans une ambiance assez folle mais sans la TV française, les verts iront gagner 3-1 au Pirée. Avant de s’imposer 2-1 au retour. Pendant toute la seconde période on se mit à rêver.

En effet on savait qu’en cas de qualification l’ASSE affronterait soit le Werder Brême, soit le Milan AC de Beckham Ronaldinho Ronaldo Pirlo Inzaghi…etc. Pendant que les verts assurent Milan mène 2-0 contre Brême après un nul 1-1 à l’aller. Autant dire que l’ASSE-Milan tant souhaité (et tant rêver par la personne qui écrit cette chronique) et tout proche. Mais malheureusement, par on ne sait quel miracle Brême marquera 2x, et se qualifiera finalement. Tout le monde rêvait du grand Milan, mais on devra se « contenter » du Werder. Au match aller Saint-Etienne perdera 1-0. Enfin du suspense avant le match retour dans le chaudron. Malheureusement, sur 2 corners allemands, Prodl et Pizarro scelleront le suspense, et malgré les buts de Benalouane et Grax (si si ^^) les verts se feront sortir en 1/8e de finale. Un parcours malgré tout plus que prometteur, surtout vu la galère en Ligue 1, ou les verts se sauveront à l’ultime journée contre Valenciennes.

Et maintenant ? A l’aube du sprint final de cette saison 2011-2012 les verts sont 4e, a 1 point de la Ligue des Champions. Est-ce qu’enfin, Saint-Etienne va retrouver le top niveau national et retrouver l’Europe régulièrement. Une chose est sure, nous qui avons le cœur vert, on le souhaite au plus haut point. On rêve de connaitre à notre tour de grandes soirées européennes, comme celle des années 70 car non, contrairement à ce que disent les mauvaises langues, l’ASSE n’est pas un club uniquement supportés par des vieux quinquagénaires nostalgiques, et j’en suis (excusez ma modestie) l’un des représentants de la « jeune génération de supporter vert »
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